Ce matin, un article du figaro titre “La pollution de l’air provoquerait près de 100.000 morts prématurées par an en France“. L’article évoque les grandes capitales d’Europe mais les petites communes dans des proportions différentes ne sont pas épargnées par ce fléau.

Contrairement à ce que pourrait laisser penser la situation géographique de Saint-lys, aux portes de la campagne, la pollution de l’air est bien réelle, constante et en augmentation. Cette pollution est observable lorsque l’on arrive de l’ouest. Un nuage jaunâtre est parfaitement visible depuis les hauteurs de Sainte-Foy ou de Rieumes. En soirée, la cuvette de la plaine de la Garonne est prise dans la pollution. Certaines applications sur la qualité de l’air respiré le confirme.

Que dire du centre ville de Saint-lys livré à une circulation incessante effrénée toujours plus dense, aux bouchons devenus réguliers, aux particules fines, aux fumées toxiques des pots d’échappement, aux perturbateurs endocriniens et autres nanoparticules.

Sans vision de long terme, sans respect de l’environnement et du cadre de vie, l’urbanisation galopante de Saint-lys a donc aussi un cout en terme de santé.

Gamin, avec les copains, nous faisions du patin à roulette sur la place de la liberté et autour de la halle. Sans vouloir revenir aux temps jadis on peut tout de même faire le constat suivant : “Livrer Saint-Lys à l’appétit des promoteurs n’est décidément pas sans danger !”

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Sur la tête !

En ce mois de novembre 2023, des milliers de panneaux signalétiques d’entrée de communes ont été retournés à l’envers partout en France. Une action des jeunes agriculteurs pour dénoncer une politique agricole qui “marche sur la tête”.

La politique agricole n’est pas la seule à tourner carré. De longue date, la politique communale et supra communale a tourné le dos aux citoyens. Une fois l’élection gagnée, les programmes sur papier glacé, les promesses et les beaux discours sont vite oubliés et font place à une tout autre réalité. Une réalité que les potentats locaux s’appliquent, au mieux, à embellir ou à travestir, au pire, à esquiver ou à dissimuler lorsqu’elle devient trop gênante. Typiquement à Saint-Lys, l’augmentation de la pression fiscale  ou la mise en carence par le préfet.

Depuis 2016, la gestion de l’équipe municipale, de son maire Serge Deuilhé accompagné de son 1er adjoint, Fabrice Planchon, est particulièrement représentative de cette déconnexion grandissante entre promesses et résultats, entre politique menée et aspirations citoyennes. En sept ans de présence à la mairie, le bilan est sévère. Oubliées les huit pages de promesses électorales. Les renoncements succèdent aux renoncements et l’avenir s’obscurcit. Là ou les communes alentours tire leur épingle du jeu à l’image de Fonsorbes, Saint-Lys stagne, voir, régresse, et cela malgré l’explosion des dépenses et des impôts.

La prochaine échéance électorale approche à grands pas, alors, modestement, je souhaite faire mienne la phrase de Rabelais “Ignorance est mère de tous les maux” et proposer avec d’autres, quelques éléments de réflexion .