QUESTIONS DÉPOSÉES PAR DES SAINT-LYSIENS
“Le projet est disproportionné par rapport à la commune de Saint Lys. Pourquoi ne pas mieux repartir les capacités d’accueil en Occitanie ?
- Les DPAR ou CPAR sont au nombre de 32 dans toute la France, 4 en région parisienne et 28 en province. Ces centre de transit avant le retour/expulsion dispose de 2 063 places fin 20211. En voici 1 à Saint-Lys. Les DPAR n’accueillent que des étrangers en situation irrégulière que la France veut soit expulser, soit aider à un départ volontaire. Ces personnes ne sont pas des migrants. Les migrants, demandeurs d’asiles, etc. sont logés dans d’autres dispositifs.
- La mairie n’a pas préempter dans les temps pour implanter un projet – Lorsque les locaux de la joie de vivre ont été mis en vente, la mairie à reçue une DIA. C’est un document CERFA n°10072*02 (Officiel) que chaque propriétaire doit remplir lorsqu’il vend un bien situé dans la zone de préemption d’une commune. Les locaux de la joie de vivre sont situés dans une zone de préemption Ub, définie dans le PLU de 2013, toujours en vigueur puisque le nouveau PLU n’a pas réussi à passer la première phase. La DIA informe la municipalité qu’un bien se vend. A partir de ce moment, la mairie a deux mois pour faire une proposition d’achat au prix qu’elle défini. Le HIC, c’est que pour préempter (acheter) un bien une commune ne peut le faire que si la demande de préemption est motivée ! La mairie doit avoir un projet sérieux et documenté pour empêcher un vendeur de vendre à qui il veut. Le maire et son équipe n’ont pas travailler à un projet depuis 2016. Quand la DIA est tombée, ils n’avaient rien à proposer. Adoma était libre d’acquérir les locaux. Tout le cinéma que fait le maire autour de cette période n’a d’autre but que de cacher ses incompétences et celles de son équipe.
- La mairie poursuit une baisse de lit, rien d’autre – Adoma ne gère pas que des CPAR. Si le maire était rentré dès le début dans une négociations “dure” pour changer la destination des locaux au lieu de proposer sa fichu motion “Deuilhé”, il serait fort probable que nous n’en serions pas là. D’autres projet son possible à condition de se bagarrer pour cela. Si vous ne cherchez qu’une baisse de lit, la bataille est perdue.
- Aucune commune n’a envie d’accueillir un CPAR. Ceux qui sont censés venir à Saint-Lys sont des gens aujourd’hui logés à Toulouse, ville qui a des moyens. La boboïsation de la métropole fait qu’ils sont devenus indésirables en ville et qu’on les envoi en couronne.
- Non ! Un CPAR est un centre ouvert ou les résidents sont libres d’aller et venir. Seuls 2 ou 3 assistants sociaux passent de temps en temps.
- Oui et Oui bien sur. Iriez vous acheter à 200m d’un centre de transit ouvert avec 160 personnes alors que vous pouvez acheter au calme un peu plus loin ?
- Aucune, voir dans une question précédente
- La “joie de vivre “était en vente. La mairie n’avait pas de projet et n’a pas acheté. Adoma l’a fait. Dans son programme de développement que je retrouverai dès que j’aurais le temps, Adoma précise noir sur blanc rechercher des lieux comme d’anciens EHPAD pour s’implanter. Celui de Saint-Lys s’est libéré, Adoma en a profité. Aucune logique d’état derrière, juste la négligence d’un maire et une aubaine pour Adoma qui est une société privé, rappelons le.
- C’est une bonne question. A demander au préfet.
- Deux travailleurs sociaux de temps en temps et 160 personnes libres de mouvement. La police passe vérifier qu’il n’y a pas de fugue. Plus de la moitié des personnes disparaissent dans la nature.
- Zéro valeur ajoutée. Le CPAR est une prison ouverte pour des personnes qui doivent repartir chez elles.
- Voir question plus haut
- Exact
- Exact
- Lorsque la société Domusvi, gestionnaire de la “joie de vivre” a décidé de s’agrandir, la mairie de Saint-Lys était en pleine guerre des chefs. Serge Deuilhé, 1er adjoint urbanisme de Jacques Tene, a provoqué avec un groupe de frondeur une explosion du conseil de l’époque. Serge Deuilhé à pris la place de son mentor. Une période chaotique. La demande de Domusvi n’a pas trouvé de réponse à Saint-Lys et c’est fort logiquement qu’ils se sont tournés vers Fonsorbes. Début 2017, Fonsorbes annonçait la bonne nouvelle du transfert de lit.
- Le coup de COM du désespoir. Le maire tente un dernier coup de bluff. Comme au poker, il fait tapis ! Ca passe ou ca casse, d’autant que dans la majorité, les langues se délient. Faisons en sorte que ca casse !
- Une bonne question à poser en conseil municipal.
- Ceux qui ont un projet vont le préparer avec deux travailleurs sociaux. Les autres se feront la malle à la première occasion. Ils sont libres de leurs mouvements. Pas de scolarité. Adoma.
- 60 % des étrangers qui quittent le territoire national dans le cadre de l’ARV sont originaires de pays dispensés de visa. A titre indicatif, les quatre premiers pays de retour volontaire sont la Géorgie, l’Albanie, la Serbie et la Macédoine.
C’est un centre de transit pour qqs semaines, personne ne travaille sur place. Ils peuvent sortir de la galère en retournant chez eux avec un petit pécule pour monter un progrès. Quelques belles histoires existent. Beaucoup reviennent par d’autres routes, beaucoup se font la malle.
Cela veut dire qu’ils resteront ici si le pays d’origine de chacun ne les veut pas ?
II/ Pourquoi ne pas adopter les lois à ces vagues massives d’immigration en mettant un délai exécutoire de courte durée pour le retour au pays d’origine. La France n’en peut plus ?
III/ Comment la commune pourrait gérer ce CPAR dont elle a accepté la présence sur le village sans concertation des Saint Lysiens alors qu’elle n’arrive même pas à solutionner les 5 ou 6 dealers sous la halle qui pourrissent le centre ville et notre belle halle ( plus de fleurs dans les bacs, et balayette passée au quotidien pour enlever les poubelles et détritus partout et bouteilles vides ), recrudescence de vols et d’effractions?
III/Comment juguler l’insécurité du village qui va en découler avec ce surcroît de population qui n’aura rien à perdre ? Prévision de Renfort de policiers municipaux et de gendarmerie ?”
Je n’ai pas de question précise , seulement leur dire de penser aux personnes qui habitent près du site. Je réside derrière l’hôtel et déjà c’est compliqué !
“1. Connaissons-nous réellement les temps de “”transit”” que vont devoir respecter ces personnes que la France expulsent?
2. Y aura-t-il un vrai suivi et un contrôle afin d’éviter toute “”fuite””/toute “”évasion”” de ces personnes ?
Si la France les expulsent, ce n’est pas pour les retrouver quelques mois plus tard dans d’autres villes/centres…
3. Qu’est-ce que l’état met vraiment en place ?
4. Je pense que les saint lysiens veulent retrouver le calme et la sécurité, ce n’est pas avec ce genre de centre que cela va s’arranger, qu’est-ce qu’il va être mis en place pour garantir cela?”
Pourquoi le maire fait comme si il n’était pas au courant
Aucunes questions , pour ma part se CPAR n’a pas lieu d’être dans un village comme Saint Lys.
Tous les documents signés par les participants seront déposés chez Mme la sous-préfète