Un bien mauvais cru que cette année municipale écoulée. 2021 restera dans les mémoires comme l’année de toute les catastrophes, présentes et malheureusement à venir. La carence prononcée par le préfet contre Saint-Lys a ouvert le bal, suivie de près par la mise sous tutelle de l’urbanisme par l’EPFO, une convention forcée, plaçant certains saint-lysiens sous la menace d’une expropriation via un courrier reçu sans préavis la veille de Noël, suivi par un nouveau PLU dont les orientations donneront lieu à de nombreuses contestations dès le mois de janvier 2022, avec en point d’orgue l’installation d’un CPAR centre de transit dans les locaux de la joie de vivre, dès 2022.
Un centre de transit à destination d’étrangers en situation irrégulières, en voie d’expulsion, d’une capacité de 160 places, ouvert, sans surveillance, à 5’ à pied de toutes les zones de vie, commerces, habitations et écoles. Cerise sur le gâteau, la motion « Deuilhé » votée comme un seul homme par les membres de la majorité, qui loin de refuser catégoriquement l’installation d’un CPAR à Saint-Lys, propose d’en installer ailleurs en ville dans des bâtiments communaux vides, sans en préciser ni le nombre, ni le lieu. L’audio de la motion est disponible sur mon blog lesaintlysien.com.
Je passe sur le triple mandat que notre maire a été cherché au détriment de ses engagements de campagne, provoquant une crise interne sanctionnée par quatre départs de la majorité.
Une mention spéciale aux LR (républicains) de la liste majoritaire, soutenant aveuglément les errements en cours du maire de Saint-Lys, Serge Deuilhé.
L’un d’eux m’a dit un jour : « En politique, il faut savoir avaler des couleuvres ». Bon appétit les gars !
Je vous souhaite de très heureuses fêtes.
Jean pierre Michas, conseiller municipal indépendant
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